Isabelle directrice régionale en Côte d’Ivoire – Mois du travail social 2022
Isabelle directrice régionale en Côte d’Ivoire – Mois du travail social 2022

Isabelle, directrice régionale en Côte d’Ivoire

Diplôme(s) en travail social et pays d’étude

Maitrise en travail social (Canada)

Pays où tu exerces

Côte d’Ivoire

Structure ou établissement dans lesquels tu travailles

Direction régionale de la protection sociale

Titre d’emploi actuel

Directrice régionale

Public que tu accompagnes / auprès de qui tu offres tes services en travail social

Personnes âgées, femmes et enfants

Selon toi, quelles sont les problématiques sociales les plus prédominantes dans ton pays ?

Le vieillissement, les violences faites aux aînés, les violences familiales, les grossesses précoces, les viols d’enfants, les abandons d’enfants, les familles monoparentales, les violences basées sur le genre, les mutilations génitales féminines et l’excision…

Selon toi, en quoi le travail social a sa place dans ton pays ?

Le travail social pour parvenir à la justice sociale (une politique de protection des aînés, offrir un soutien psychologique à toutes les victimes des violences familiales et à toute personne en détresse psychologique…)

À l’heure actuelle, pourquoi choisir cette profession ?

C’est une profession transversale, partout où il y a des humains, il doit y avoir le travail social. Toute personne pourrait s’exposer à des risques de santé mentale et l’intervention de la profession est nécessaire pour y remédier. Sans cette profession, le monde irait à sa perte.

Selon toi, quel serait l’avenir idéal du (travail) social dans ton pays ?

Que cette profession soit reconnue et acceptée par toutes et tous. Les travailleurs sociaux doivent être à la place qu’il faut.

Que souhaites tu partager pour le mois du travail social 2022 ?

Je souhaite la création d’un puissant réseau international des travailleuses sociales et des travailleurs sociaux afin de se soutenir et faire rayonner la profession dans chaque pays surtout les plus faibles. Il faut un soutien international pour la survie de la profession dans les pays en voie de dévelop