Conseils de DEASS aux DEASS (France – Québec)
Conseils de DEASS aux DEASS (France – Québec)

Conseils de DEASS aux DEASS (France – Québec)

Juin 2020
J’ai fait le dépôt initial de mon mémoire de recherche !! 😍

👋 J’en profite pour vous partager un texte que j’ai finalement retiré du mémoire MAIS qui vous intéressera sûrement.

J’ai modifié quelques peu l’introduction pour sa compréhension :

Les DEASS Alison, Charlène, Cloé, Joëlle, Leïla, Marie, Romain et Suzanne partagent leurs conseils avec les DEASS qui envisagent d’immigrer à Montréal.

C’est à la manière d’un récit reconstitué que les participantes trouveront leurs voix pour partager leurs recommandations au sein d’une même voix. [Leurs propres mots sont présentés entre guillemets]. Je suppose que certaines recommandations seront intéressantes pour toutes les personnes immigrantes et pour d’autres villes du Québec.

Conseils de DEASS aux DEASS (France-Québec)

Avant tout, il est important de « se renseigner et s’informer » sur la province dans laquelle tu souhaites immigrer. Le Québec n’est pas la France, il faut « se préparer aux déstabilisations culturelles » et avoir « le bon état d’esprit, s’ouvrir » à la nouveauté. Mais prends garde, parfois les images véhiculées sur le Canada, le Québec et Montréal sont enjolivées. Il peut être intéressant de « réaliser un séjour exploratoire », voire de « faire un stage au Québec ». Ceux-ci, en plus de faire « découvrir la ville », permettent de « rencontrer directement » les représentants des institutions et les personnes habitant à Montréal. « Aller sur les réseaux sociaux » tels que « Facebook » permet de préparer ton immigration. Ils permettent également de commencer à « réseauter » pour « s’intégrer » plus facilement ensuite. Sur Internet, on retrouve toutes les « démarches administratives » auxquelles penser : « la visite médicale », « l’éval’ comparative [MIFI] » ou « s’inscrire à l’OTSTCFQ si besoin ». Il faut « […] accepter que la recherche d’emploi depuis la France soit difficile ». En effet, seulement une DEASS dans cette recherche a trouvé un emploi à distance suite à un appel d’offres du Québec. D’ailleurs, il ne faut pas hésiter à « se faire accompagner » dans ses démarches professionnelles, dès son arrivée sur le sol montréalais, et pourquoi pas depuis la France. Certaines d’entre nous conseillent de commencer à « faire son CV à la québécoise » ou « apprendre l’anglais ». À l’arrivée dans la ville, il peut être intéressant de « faire du bénévolat » et « découvrir le milieu communautaire ». Penses à bien construire ton « réseau social et professionnel ». À bientôt à Montréal !

Pour consulter mon mémoire de l’UQAM :
L’expérience des diplômées d’État assistante de service social françaises exerçant dans le domaine du social à Montréal : Processus migratoire, stratégies d’acculturation en emploi et identité professionnelle. (Liatard, 2020). 

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